randos alpines   Pointe d'Anterne 2733 m ***  
         
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Dénivelée Durée Sentier Terrain Carte IGN Refuge
1553 m Long Partiel Pierriers, lapiaz 3530 ET Sales

Départ

Le Lignon (1180 m)

Accès routier

À Sixt, prendre à droite la route de la cascade du Rouget. Se garer au terminus, juste avant la buvette.

Montée

Gagner les chalets de Sales en prenant le soin de tourner à droite au niveau de la cascade de la Sauffaz (bifurcation avec Anterne). Dix mètres après le dernier chalet, sur la gauche, une sente herbeuse peu marquée se faufile entre deux blocs de lapiaz. Elle semble se perdre immédiatement après mais en gardant sa direction, on la retrouve surmontant un autre lapiaz vers la droite. Elle débouche sur le plateau des Salamanes. Bien repérer sa sortie grâce aux cairns pour le retour. Prendre aussi le temps d'observer le parcours car l'orientation représentera la principale difficulté. À gauche, on découvre la Tête à l'Âne et le pierrier qui y mène. La pointe d'Anterne, plus à droite, ne sera visible qu'à la fin ; c'est pour cela qu'il faut repérer, en direction de la pointe d'Anterne, une tour carrée. Dans un premier temps, on décide d'atteindre la base de celle-ci, en remontant les lapiaz à droite d'une barre rocheuse descendant de l'arête faitière. Depuis le plateau des Salamanes, on prend donc la sente qui mène à ces lapiaz, puis on grimpe, en se souciant peu des cairns, en direction de la tour qui finit par être masquée. Lorsqu'on la retrouve, il faut entièrement la contourner par son côté est : on découvre un balisage à deux traits au dessus d'un abîme plein est, puis un curieux couloir pierreux entre deux parois au nord est (marques de peinture également, à gauche) mais c'est plus à l'ouest qu'il faut remarquer un cairn indiquant le départ (après une mini descente vers l'ouest) d'un large vallon de pierraille –le couloir de la Mitraille– montant plein nord jusqu'à découvrir la faille qui le prolonge (la pointe a glissé par rapport au reste de la chaîne). On découvre enfin le sommet, à droite : quelques pas d'escalade permet de se hisser sur l'arête que l'on remonte jusqu'au sommet (instable, un passage exposé lors du contournement par la droite d'un bloc).

Descente

Par le même chemin, en choisissant cette fois-ci le pierrier longtemps enneigé qui borde la barre rocheuse plutôt que les lapiaz de gauche. Méfiez-vous des multiples sentes qui parcourent le plateau des Salamanes.

Observations

Itinéraire relativement facile techniquement mais qui réclame un certain sens de l'itinéraire. Grand intérêt géologique : nombreux fossiles marins à proximité des lapiaz.

Mon avis

Très jolie vue. Sommet sauvage.

 
 


© 2003, Luc Gential.
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